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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 11:33
NOUVELOBS.COM | 18.02.2010 | 18:30

Dans les nouveaux programmes, le chapitre dédié à l'étude de "la civilisation musulmane" en cours d'Histoire, en Seconde, serait remplacé par "l'Occident chrétien".

Une classe de seconde (AFP)

Une classe de seconde (AFP)

Le cours dédié à "la civilisation musulmane" en cours d'Histoire-géo en Seconde pourrait disparaitre au profit de "l'Occident chrétien médiéval", avance le site Rue89, jeudi 18 février. Une information contestée par le ministère de l'Education.
Actuellement, les lycéens étudient le chapitre intitulé "La Méditerranée au XIIe siècle : carrefour des civilisations" qui traite des "espaces de l'Occident chrétien, de l'Empire byzantin et du monde musulman" et des "différents contacts entre ces trois civilisations : guerres, échanges commerciaux, influences culturelles".
Si les nouveaux programmes sont adoptés en septembre prochain, le chapitre deviendra :" La civilisation rurale dans l'Occident chrétien médiéval, du IXe au XIIIe siècle".

Le ministère de l'Education se défend face à une "polémique curieuse"

Contacté par Nouvelobs.com, le ministère de l'Éducation nationale se défend et tient à préciser que "les programmes sont encore en phase d'élaboration", et peuvent donc "être modifiés, rien n'est définitif". La phase de consultation des enseignants sur le sujet va ainsi durer "jusqu'au 12 mars" et "le texte final devrait être présenté au Conseil supérieur de l'éducation le 1er avril".
Par ailleurs, le ministère souligne une "polémique curieuse" au regard d'"un projet de programme où le monde musulman ne disparaît pas". Au contraire, "il est abordé avec la question sur 'La diversité du monde au XVe et XVIe siècle'".
Le ministère tient donc à "contester doublement l'information de Rue89", tout en soulignant que les programmes ont été élaboré par "des spécialistes et des universitaires".

"C'est une répétition du programme de cinquième !"

Interrogé par Rue89, Alice Cardoso, responsable de l'Histoire-géo au sein du Syndicat national des enseignements de second degré (Snes), explique que "le Snes a été reçu par le président du groupe d'experts [qui a rédigé les nouveaux programmes]. On a demandé le maintien du chapitre sur la Méditerranée mais on nous a expliqué que les connaissances des élèves sur l'Occident chrétien médiéval étaient très succinctes. Alors que c'est une répétition du programme de cinquième au collège !" En effet, en classe de cinquième, les collégiens étudient le chapitre "La chrétienté occidentale".
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17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 14:12
Que révèle la loi Loppsi sur la vision de la sécurité dans notre société ?

- C’est une nouvelle loi "fourre-tout". Elle mélange à la fois des questions techniques de police judiciaire (avec un filtrage des sites pédopornographiques loin d'être efficace), avec une vidéosurveillance imposée aux maires (alors qu'on les croyait responsables de la politique locale de sécurité), mais aussi des pouvoirs de police municipale étendus (sans discussion de fond sur la doctrine d’emploi de la police municipale), un couvre-feu pour les mineurs de 13 ans (ce qui est de la poudre aux yeux), le durcissement des peines pour les agresseurs de personnes âgées (mesure de circonstance qui ne protègera pas plus les personnes âgées)... Bref, une "auberge espagnole" qui n’a pas d’autre cohérence que celle du message que l’on entend délivrer à l’opinion publique à un mois des élections régionales.

A travers cette loi, le gouvernement ne trahit-il pas sa peur de l'autre (peur des "jeunes" avec les couvre-feu, peur d'Internet avec le filtrage, etc.) ?

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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 15:05

« Parce que c’est un pays pauvre et que le marché du travail y est relativement peu réglementé, les coûts du travail sont en Haïti compétitifs avec ceux de la Chine, le pays avec lequel il faut se comparer mondialement »
Des ministres gouvernementaux, des banquiers internationaux et des organismes humanitaires se sont réunis à Montréal lundi pour discuter des plans de reconstruction d’Haïti, ravagé par un tremblement de terre. Au cœur de leurs propositions se trouve l’exploitation des travailleurs haïtiens à des salaires de misère.Imprimer ce texte Imprimer ce texte

La conférence n’a rien offert de concret sur le plan d’aide nouvelle et a plutôt servi à planifier une rencontre de donateurs aux Nations unies en mars. La majeure partie du discours provenant de la conférence semblait avoir peu de liens avec la situation sur le terrain en Haïti, où 150 000 personnes ont été confirmées mortes, des centaines de milliers de plus ont été blessées et plus de 1,5 million fait sans-abris.

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12 février 2010 5 12 /02 /février /2010 16:00

C'est une mesure radicale, perdue dans le fourre-tout de la Loppsi : la loi sur la sécurité autorise la surveillance des ordinateurs. La police pourra s'introduire discrètement chez les suspects pour installer des mouchards. Pour le gouvernement, ce n'est qu'une modernisation des écoutes téléphoniques.

« Mouchards », « logiciels espions »… le gouvernement évite prudemment les mots qui font peur. Le texte de la Loppsi évoque pudiquement la « captation des données informatiques » :

« Un dispositif technique ayant pour objet, sans le consentement des intéressés, d'accéder, en tous lieux, à des données informatiques, de les enregistrer, les conserver et les transmettre, telles qu'elles s'affichent sur un écran pour l'utilisateur d'un système de traitement automatisé de données ou telles qu'il les y introduit par saisie de caractères. »

Affaires de vol, drogue, proxénétisme ou immigration clandestine

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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 15:32
Aux Etats-Unis, les « walk away » laissent leur maison..

…et leur dette aux banquiers
Fairfield, à 65 kilomètres de San Francisco (Californie), est l’un de ces lieux où les cadres californiens sont, depuis 2004, venus chercher qualité de vie et immobilier abordable. Dans cette ville nouvelle, ils se sont fait construire de belles maisons avec piscine, jardin et un garage pour trois véhicules. Beaucoup ont choisi de quitter leur appartement en ville pour acheter une de ces villas. Et pour financer ce rêve à 800 000 dollars (près de 600 000 euros), sûrs de faire, grâce à la hausse des prix de l’immobilier, une bonne affaire, ils ont emprunté sur 30 ans.Imprimer ce texte Imprimer ce texte

Aujourd’hui, ces quartiers sont un désastre urbain, un désert. Les propriétaires insolvables ont déjà vu leur villa saisie ou sont menacés d’expropriation et les commerçants partent les uns après les autres. Pour les rares habitants qui restent, la situation est inextricable : leur villa ne vaut plus que 40 % ou 50 % du prix payé, ils n’ont pas commencé à rembourser le capital et n’entrevoient aucune perspective de revalorisation de leur bien. De plus en plus nombreux sont ceux qui « se tirent » – walk away, dit-on ici. Bien que solvables, ils cessent, en toute légalité, de rembourser leur emprunt. Que la banque se débrouille ! Le prêteur récupère la maison et les « propriétaires », eux, sont libérés de leur dette.

Des Fairfield, il y en a partout aux Etats-Unis. Au total, 11 millions de ménages, soit 23 % des emprunteurs immobiliers, sont actuellement under water (sous la ligne de flottaison), c’est-à-dire disposant d’un appartement dont la valeur est inférieure au montant emprunté. Cette proportion va jusqu’à 65 % en Californie, en Floride, au Nevada, en Arizona, dans le Michigan ou en Géorgie. Selon la société d’études immobilière First American CoreLogic, 2,2 millions de ménages ont vu la valeur de leur patrimoine chuter de plus de 50 % depuis l’achat.

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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 11:53
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24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 16:02

Wintek-manifestations_01-540x405
Deux mille employés de l’usine Wintek Corp ont déclenché une grève violente la semaine dernière pour protester contre des décès suspects attribués à l’exposition à des substances toxiques.Imprimer ce texte Imprimer ce texte

L’information a été rapportée par le site China Daily, selon lequel  2 000 salariés de Wintek Corp, le sous-traitant d’Apple qui lui fournit les écrans tactiles de l’iPhone, s’en sont pris à des installations de l’usine. Ils entendaient protester après la mort de quatre travailleurs qui auraient été exposés aux vapeurs d’hexane, un solvant très puissant employé pour nettoyer la surface des écrans tactiles et qui attaque le système nerveux.

Les autorités locales ont semble-t-il mené une enquête et affirmé qu’aucun décès n’était répertorié, provoquant l’ire des salariés de Wintek. Ces derniers évoquent également la surcharge de travail mal rétribuée. On ne sait pas encore si la production de l’iPhone pourrait être affectée par cette grève.

Ce n’est pas la première fois que des fabricants chinois travaillant pour Apple sont mis en cause pour les conditions de travail de leurs salariés. Selon un audit réalisé l’année dernière par la firme américaine, 45 des 83 usines chinoises fabricant des iPhone et des iPod ne payaient pas les heures supplémentaires à leur taux légal en 2008. (Eureka Presse)

ZDNet France. Publié le 19 janvier 2010

via http://dndf.org/

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22 janvier 2010 5 22 /01 /janvier /2010 01:26
Ci dessous un article du monde, traitant du retour en force des revendications salariales, qui effraie le pouvoir. En atendant d'abolir le salariat...


Les salaires redeviennent un sujet de conflit social Alors que la sortie de crise se confirme, le gouvernement surveille de près l’évolution du climat social. Ce n’est pas tant la situation dans le secteur public qui l’inquiète. La journée d’action des fonctionnaires, jeudi 21 janvier, à l’appel de la CGT, de la FSU et de Solidaires contre les suppressions de postes n’impressionne guère le ministre de la fonction publique. Eric Woerth s’est dit déterminé, mercredi 20 janvier, à “poursuivre la diminution du nombre des fonctionnaires” en citant l’exemple de l’administration fiscale, “qui marche infiniment mieux qu’il y a quelques années avec moins de fonctionnaires”.Imprimer ce texte Imprimer ce texte La situation dans le privé est jugée plus sensible : comme à chaque fois que la croissance revient, les revendications salariales repartent, alors que les chiffres du chômage restent mauvais. Toutes les deux semaines, le ministre du travail, Xavier Darcos, reçoit une synthèse sur l’actualité sociale. Elle signale sur la période fin 2009 – début 2010 “une forte activité sur le champ des conflits collectifs de nature très différente”. Cette note d’une quarantaine de pages relate l’activité des directions régionales du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle et rassemble les informations recueillies par les inspections du travail. La synthèse, au départ trimestrielle, est devenue bi-mensuelle depuis que Xavier Darcos s’est installé Rue de Grenelle en juin 2009. Elle est transmise pour information à l’Elysée. Parmi les conflits recensés, un certain nombre portent sur les suppressions d’emplois et les demandes d’indemnité. C’est le cas à l’aéroport de Brest, dans une clinique en Poitou-Charentes ou dans le ramassage des déchets à Mayotte. D’autres ont trait à la réorganisation du travail comme dans un Carrefour de Bretagne ou une biscuiterie dans la Meuse. Mais les directions du travail constatent aussi que “les revendications salariales mobilisent fortement”. Et de citer l’exemple des transports urbains à Rennes, d’une clinique en Auvergne, du casino d’Amnéville en Moselle, d’une usine d’incinération dans le Finistère, de Total en Aquitaine, ou encore des activités portuaires en Guyane. “Crispation sur la paye” Les syndicats confirment la tendance et cherchent à la mettre en scène. Jean-Claude Mailly (FO) annonce “la remontée des revendications salariales” et l’Hebdo de Force ouvrière en date du 13 janvier titre : “Crispation sur la paye”. Le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque estime que “le gouvernement a donné un signe de modération salariale avec la très faible augmentation du smic (+ 0,5 % au 1er janvier) et que cela va se traduire socialement”. Même son de cloche à la CGT où l’on estime que les actions nationales dans le secteur bancaire ou chez les routiers, fin 2009, annonçaient la couleur. Dans les régions, des mobilisations, souvent très brèves, surgissent… Chez Borgers à Saint-Quentin (Aisne), une entreprise de textile pour l’automobile de 200 salariés, la bataille a porté sur la suppression d’une prime de fin d’année de 500 euros, “pour cause de crise”, a dit la direction. Après trois jours de grève, la direction est revenue sur sa décision, accordant une prime de 600 euros et le paiement des jours de grève. Dans le Finistère, ce sont les salariés d’une société d’incinération, sur trois sites différents, Brest, Briec et Concarneau qui ont fait grève. Marc Hébert, secrétaire départemental FO, évoque aussi des entreprises de moins de dix salariés, un abattoir à Quimper ou une serre qui produit des roses à Kerlouan. “Souvent le déclencheur c’est les conditions de travail, avec l’actualité des questions de stress, mais la question des salaires arrive rapidement dans les mouvements, ça grogne parce que c’est de plus en plus difficile”, explique-t-il. le pouvoir d’achat n’a pas reculé en 2009, il risque de souffrir d’une remontée de l’inflation en 2010, du fait de la hausse des prix du pétrole et des matières premières. A l’automne déjà, une note d’Entreprise & Personnel, un organisme qui réunit les directions de ressources humaines des grandes entreprises françaises, annonçait le risque d’une remontée des conflits salariaux “au fur et à mesure que beaucoup de salariés se sentiront rassurés sur leur emploi”. Cette note prévoyait en conséquence “des négociations salariales périlleuses”. De fait, du côté patronal, on souligne que la crise n’est pas finie. “Je ne vois pas comment nos entreprises pourraient accorder des augmentations de salaires compte tenu de leurs difficultés de trésorerie”, fait valoir Jean-françois Roubaud, le président de la CGPME. Rémi Barroux Article paru dans l’édition du 22.01.10 LE MONDE | 21.01.10 | 13h58 • Mis à jour le 21.01.10 | 16h55
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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 13:41


AP | 20.01.2010 | 12:22

Le tribunal de la petite ville d’Amfissa a ajourné à vendredi le procès de deux policiers poursuivis pour la mort d’un adolescent, dont la mort avait déclenché de violentes émeutes dans toute la Grèce fin 2008.

A l’ouverture des débats mercredi, sous très haute sécurité par crainte de nouvelles manifestations violentes, les juges ont accepté ce report en raison de l’absence d’un des principaux avocats de la défense.

Les deux policiers sont poursuivis l’un pour homicide volontaire et l’autre pour complicité dans la mort d’Alexandros Grigoropoulos, lycéen de 15 ans, tué par balles le 6 décembre 2008 à la suite d’un affrontement avec un groupe de jeunes dans le quartier d’Exarchia, en plein centre d’Athènes.

Dans les heures qui avaient suivi sa mort, un vaste mouvement de protestation avait débuté, les manifestants, la plupart pacifiques, dénonçant les violences policières et le gouvernement. Des violences urbaines avaient également éclaté dans la capitale, menées par une frange extrémiste, les émeutes gagnant plusieurs dizaines de villes du pays, où elles avaient fait rage pendant quinze jours.

Les policiers affirment avoir agi en état de légitime défense et que le tir qui a tué le jeune homme était un tir d’avertissement, en l’air et qui ne le visait pas.

Les autorités grecques ont choisi de délocaliser le procès dans le centre du pays, dans la petite ville montagneuse d’Amfissa, à environ 200 km à l’ouest d’Athènes.

Et ce pour raisons de sécurité, craignant de nouvelles manifestations de la part de groupuscules d’extrême gauche, chefs de file des violences urbaines qui ont secoué le pays après la mort de l’adolescent.

Des membres des forces spéciales étaient donc déployés dans le palais de justice d’Amfissa, où quelque 800 policiers avaient été dépêchés.

Environ 800 personnes, la plupart venues par bus de toute la Grèce, ont manifesté pacifiquement devant le tribunal, scandant des slogan hostiles à la police, et à ceux qui les arment, sous une banderole "Etat coupable".

Quelques affrontements mineurs ont ensuite opposé les forces de l’ordre à un groupe d’environ 200 manifestants, principalement des anarchistes, sans blessés ni interpellations.

La famille de la victime avait à plusieurs reprises réclamé que le procès ait lieu à Athènes. Mercredi, Alexandros Katsantonis, un avocat de la famille, a estimé une nouvelle fois que le choix d’Amfissa posait des "obstacles" au procès. "Comment 40 témoins, dont des mineurs, peuvent-ils faire le voyage d’Amfissa deux fois par semaine pour le procès ?", a-t-il demandé.

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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 23:00


Fabrègues (Hérault) : Il échappe à la Paf avant d’être arrêté par les gendarmes

Midi Libre, jeudi 7 janvier 2010

Hier, vers 14 h 30, et alors qu’il était transféré du centre de rétention de Toulouse jusqu’au port de Marseille, un jeune homme, âgé d’une vingtaine d’années et en situation irrégulière sur le territoire, a faussé compagnie à ses accompagnateurs, des fonctionnaires de la Police aux frontières (Paf). C’est lors d’un arrêt pour satisfaire un besoin naturel, sur l’aire de l’A 9 de Fabrègues, que le garçon a bousculé l’un des policiers (n’étant pas en garde à vue, il n’était donc, logiquement, pas menotté), avant de traverser l’autoroute et de prendre la clé des champs. Prévenue, la compagnie de gendarmerie de Castelnau a alors déployé plusieurs patrouilles dans le secteur.

Une manoeuvre qui s’est rapidement révélée payante : vers 15 h 40, le fuyard a été appréhendé en bordure de la Départementale 113, reliant Saint-Jean-de-Védas à Sète. L’homme a ensuite été remis aux policiers qui ont pu poursuivre leur route jusqu’à la cité phocéenne.

 

La prochaine sera la bonne...

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